- karim7373عضو نشيط
- عدد الرسائل : 310
نقاط : 126
السٌّمعَة : 7
تاريخ التسجيل : 04/06/2008
و دائما مع تاريخ مستغانم باللغة الفرنسية
الجمعة 15 أغسطس 2008, 21:43
Depuis les phéniciens : Port punique du nom de Murustaga, la ville fut reconstruite par les Romains qui lui donnèrent, au temps de Gallien (260-268), le nom de Cartenna. Bien que le site semble avoir été occupé durant le haut Moyen Âge. La région de Mostganem a été le foyer des tribus Zénètes jusqu'à l'arrivée des Hilaliens et des Almoravides. C’est sous le règne de l’Almoravide Youssef Ibn Tachfin (1061-1106) que l’on attribue, en 1082, la fondation de bordj El Mehal, l’ancienne citadelle de Mostaganem. Après lui, Mostaganem appartient aux Zyanides de Tlemcen, puis aux Mérinides de Fès, dont l’un d’eux, Abou El Hassene Ali Ibn Abi Said, fit construire la grande mosquée en 1341.
Les temps modernes : En 1511, les Espagnols imposèrent aux habitants de Mostaganem un traité que ceux-ci refusèrent d’admettre. Mais dès 1516, Mostaganem tomba aux mains des Turcs. Dès lors, Rivale d’Oran espagnole, elle voit son importance croître. Après plusieurs années de résistance, ils firent appel à Kheïr Ed Dine Barberousse avec l’aide duquel ils infligèrent aux Espagnols une sérieuse défaite devant Mazaghran (août 1558). Mostaganem passa alors sous la domination des turcs ; elle fut agrandie et fortifiée par Kheïr Ed Dine. À la solde de la France, la garnison de turcs d’Alger et de Kouloughlis résista aux Français à deux reprises (1832 et 1833). C’est une grande place forte maritime que les troupes françaises doivent prendre d’assaut en juillet 1833, car l'armée française avait peur que la ville tombe sous le contrôle de l'émir Abd El-Kader[1]
Le général: en fait une garnison importante où est formé en 1847 le premier régiment de tirailleurs algériens, les célèbres turcos, sous les ordres du commandant Bosquet. Puis la ville grandit à mesure que la colonisation peuple l’immédiat arrière-pays et que le développement des communications la met en relation avec les régions de l’intérieur. Tijditt, la vieille ville arabe subsiste au nord, en arc de cercle autour de la courbe concave de l’Aïn Sefra ; elle renferme les tombeaux des santons, vénérés à la ronde. Au nord et à l’est, de chaque côté de l’oued caché sous les constructions, s’étend la ville européenne, méditerranéenne d’aspect, avec ses maisons à arcades et ses rues ombragées de platanes, des rampes à fortes pentes qui franchissent le rebord du plateau la rattachant au port compris entre les pointes de la Salamandre et de Karouba.
C'est du balcon de l'hôtel de ville de Mostaganem, en juin 1958, que le général de Gaulle prononce pour la dernière fois "Vive l'Algérie française".
Les temps modernes : En 1511, les Espagnols imposèrent aux habitants de Mostaganem un traité que ceux-ci refusèrent d’admettre. Mais dès 1516, Mostaganem tomba aux mains des Turcs. Dès lors, Rivale d’Oran espagnole, elle voit son importance croître. Après plusieurs années de résistance, ils firent appel à Kheïr Ed Dine Barberousse avec l’aide duquel ils infligèrent aux Espagnols une sérieuse défaite devant Mazaghran (août 1558). Mostaganem passa alors sous la domination des turcs ; elle fut agrandie et fortifiée par Kheïr Ed Dine. À la solde de la France, la garnison de turcs d’Alger et de Kouloughlis résista aux Français à deux reprises (1832 et 1833). C’est une grande place forte maritime que les troupes françaises doivent prendre d’assaut en juillet 1833, car l'armée française avait peur que la ville tombe sous le contrôle de l'émir Abd El-Kader[1]
Le général: en fait une garnison importante où est formé en 1847 le premier régiment de tirailleurs algériens, les célèbres turcos, sous les ordres du commandant Bosquet. Puis la ville grandit à mesure que la colonisation peuple l’immédiat arrière-pays et que le développement des communications la met en relation avec les régions de l’intérieur. Tijditt, la vieille ville arabe subsiste au nord, en arc de cercle autour de la courbe concave de l’Aïn Sefra ; elle renferme les tombeaux des santons, vénérés à la ronde. Au nord et à l’est, de chaque côté de l’oued caché sous les constructions, s’étend la ville européenne, méditerranéenne d’aspect, avec ses maisons à arcades et ses rues ombragées de platanes, des rampes à fortes pentes qui franchissent le rebord du plateau la rattachant au port compris entre les pointes de la Salamandre et de Karouba.
C'est du balcon de l'hôtel de ville de Mostaganem, en juin 1958, que le général de Gaulle prononce pour la dernière fois "Vive l'Algérie française".
صلاحيات هذا المنتدى:
لاتستطيع الرد على المواضيع في هذا المنتدى